Le iai-do ou Iai-jutsu, le Ken-jutsu et le Batto-do au Kura Dojo marseille 13010
l'art de l'étude du sabre japonais.
Notre étude et pratique du sabre japonais est divisée en trois parties complémentaires et indispensables. Ces trois disciplines s’enchaînent et se fondent entre elles très naturellement.
Notre étude et pratique du sabre japonais est divisée en trois parties complémentaires et indispensables. Ces trois disciplines s’enchaînent et se fondent entre elles très naturellement.
La liaison entre ces trois disciplines:
Après le nukistuke contenu dans la première phase active d’un kata de iai, s’enchaîne le combat (kenjutsu) qui intervient avec une réelle notion de distance et de partenaire physique ( phases qui sont tres difficile à mettre en œuvre en iai)
Après le nukistuke contenu dans la première phase active d’un kata de iai, s’enchaîne le combat (kenjutsu) qui intervient avec une réelle notion de distance et de partenaire physique ( phases qui sont tres difficile à mettre en œuvre en iai)
Une réélle étude des bunkai s'impose .
Ce qui est ou était réalisable à une certaine époque, fut volontairement, minimisé, et transformé pour en faire un DO actuellement.
Après de nombreux< échanges « attaques, esquives , et contre attaque , » arrive la coupe finale (kiritsuke), simulée
en kenjutsu et réellement portée dans l’étude
du Batto-do . Les cibles sont soit en bambous, soit en paille
de tatamis roulés. Cela permet de vérifier et de tester avec rigueur l’exactitude
des coupes exécutées lors de katas.(angle, hauteur,
arrêt du sabre, maai, etc.)Cette pratique est doublée de kumitachi au bokuto ou iaito .La pratique régulière
de ces trois disciplines permet de progresser dans la recherche
du maniement du sabre Japonais (nihon to).
A dissocier du tameshigiri dont le but principal est de tester son sabre.
Cela peut être une manière d’appréhender l'étude du Nihonto dans sa pratique
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